Evangile de Jean
11,50 Ne vous rendez-vous pas compte ? Il est de votre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple, plutôt que toute la nation périsse. » ( ) 11,51 Cela, ce n'est pas de lui-même qu'il le dit; mais, étant grand desservant cette année-là, il était inspiré: Iéshoua doit mourir pour la nation; ( ) 11,52 et non seulement pour la nation, mais aussi pour rassembler les enfants d'Elohîms dispersés, dans l'unité. ( ) 11,53 Donc, à partir de ce jour, ils décident de le mettre à mort. ( ) 11,54 Iéshoua, donc, ne marche plus en public au milieu des Iehoudîm, mais il s'en va de là vers un pays proche du désert, dans une ville dite Èphraîm. Il demeure là, avec ses adeptes. ( )
11,55 Or proche est Pèssah des Iehoudîm. Beaucoup montent du pays à Ieroushalaîm avant Pèssah, pour se purifier.
( )
11,56 Ils cherchent donc Iéshoua. Ils se tiennent au sanctuaire et se disent les uns aux autres: « Quel est votre avis ? Ne viendra-t-il pas à la fête ? » ( ) 11,57 Les chefs des desservants et les Peroushîm prescrivent: quiconque sait où il se trouve doit le dénoncer, pour qu'il soit arrêté. ( ) 12,1 Six jours avant la fête de Pèssah, Iéshoua vient donc à Béit-Hananyah, où est Èlazar, qu'il a réveillé des morts. ( Lc 19,29 , ) 12,2 Là, ils lui font donc un dîner. Marta sert; Èlazar est un de ceux qui sont à table avec lui. ( ) 12,3 Miriâm prend donc un parfum, une livre de nard pur et de grand prix. Elle en enduit les pieds de Iéshoua et les essuie de ses cheveux. La maison se remplit des effluves du parfum. ( )
trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence:
Lu dans le marathon de la parole: Voir heure 103