Psaumes de David
73,19Comment, les voilà ruinés ? Comme c’est vite fait ! Ils ne sont plus, tout a fini dans l’épouvante. ( ) 73,20Comme un songe au réveil, Seigneur, tu t’es réveillé et tu as chassé leur image. ( ) 73,21Quand j’étais aigri, aiguillonné par mes ressentiments, ( ) 73,22c’était de la bêtise, non de la sagesse, je ne te comprenais guère plus que les bêtes. ( ) 73,23Ne suis-je pas en tout temps avec toi ? Tu m’as saisi de la main droite, ( )
73,24tu me guides selon ton dessein, et ta Gloire derrière elle m’entraîne.
( )
73,25Que pourrais-je avoir aux cieux, si ce n’est toi, et à part toi, je ne désire rien sur la terre. ( ) 73,26Ma chair et mon cœur se consument pour toi, mon Dieu, mon roc, qui es mien à jamais. ( ) 73,27Nul doute : qui s’éloigne de toi se perd, tu réduis à rien ceux qui te sont infidèles. ( ) 73,28Pour moi rien de meilleur que d’être près de Dieu ; j’ai fait du Seigneur mon refuge et je redirai tes œuvres aux portes de Sion. ( Mt 5,3 , ) 74,1Méditation d’Asaf. Pourquoi, ô Dieu, ce rejet jusqu’au bout, cette colère contre les brebis de ton bercail ? ( )
trouve dans 0 passage(s):
trouve dans 0 liturgie(s):
trouve dans 0 document(s) de référence: